
L’endométriose touche environ 1 femme sur 10 et a des répercussions au niveau physique, psychique et social pour les personnes touchées. Alors que les Activités Physiques Adaptées (APA) peuvent être bénéfiques pour ce public, les femmes atteintes d’endométriose sont rarement incitées à les pratiquer.
S’inscrivant dans la stratégie nationale « santé et numérique », les supports numériques visant l’accompagnement des individus dans le domaine sanitaire sont de plus en plus nombreux et ceux mobilisant de l’activité physique dans cette perspective sont aujourd’hui largement disponibles. Toutefois, ces dispositifs et programmes numériques posent la question de leur acceptabilité (intention d’usage) et de leur acceptation (après usage effectif) par les patientes afin de proposer des modes d’accompagnement les plus efficaces et pertinents possibles.
Etudier ces déterminants psychologiques s’avère nécessaire dans l’optique de favoriser l’usage plus étendu de ces dispositifs proposant de l’APA, pour la prise en charge de l’endométriose.