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![photo Loïc Venance AFP](/system/files/styles/crop_visuel_paysage/private/UHB/BU/Culture/photo%20me%CC%81morial%2013%20nov.jpg?itok=mP8c-2KJ)
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Photo : LOIC VENANCE (AFP), « Fleurs et bougies en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre, sur la place de la République, à Paris » le Monde 26 novembre 2015
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À la suite des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, de nombreuses personnes ont déposé à proximité des différents lieux de massacres des objets, des images et des textes. Les écrits exposés en ces lieux sont le plus souvent très brefs. Les plus complexes d’entre eux sont des poèmes. On en décompte plus de deux cents. Ces écrits participent à un effort collectif de symbolisation des événements et des sentiments qu’ils ont produits, afin de les fixer pour la mémoire collective ; ils permettent de s’approprier le temps et les événements.
Cet ensemble de poèmes produits dans l’urgence des circonstances s’inscrit en fait dans une histoire des formes et des pratiques de l’écriture poétique qui remonte aux siècles classiques et qui s’origine dans les usages les plus anciens de la poésie.
Cet ensemble de poèmes produits dans l’urgence des circonstances s’inscrit en fait dans une histoire des formes et des pratiques de l’écriture poétique qui remonte aux siècles classiques et qui s’origine dans les usages les plus anciens de la poésie.
Cécile Tarjot enseignante-chercheuse doctorante au CELLAM et Guillaume Peureux seront présents pour parler de cette littérature propre à ces événements choquants.
Un partenariat avec l'association Ad Hoc - les jeunes chercheur·euses du CELLAM